Les derniers contenus liés aux tags OCZ et Marvell

Dossier : Comparatif SSD : 28 SSD de 480 à 512 Go

Publié le 07/10/2013 à 14:40 par Marc Prieur

Les SSD de 480 à 512 Go se trouvent désormais à 200-300 €, de quoi faire de l'œil à nombre d'entre vous afin de se passer d'un disque dur dans nos PC. Mais lequel choisir ? Voici un comparatif de 28 modèles !

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Test de 6 SSD SATA 6G 120 et 128 Go

Publié le 20/05/2013 à 11:30 par Marc Prieur

Nous venons de mettre à jour notre comparatif de SSD SATA 6G d'une capacité de 120 à 128 Go avec 6 nouvelles références, ce qui porte le total à 32 ! Voici un rapide descriptif des SSD ajoutés et ce qu'il y a à en retenir :

Corsair Force GS 128 Go


Cette nouvelle déclinaison de SSD à base de SandForce SF-2281 chez Corsair fait cette fois appel à de la mémoire MLC Sandisk 24nm. Cette mémoire permet à ce SSD d'être deux fois plus rapide en écriture que les SandForce combinés à de la mémoire IMFT 25nm avec 303 Mo /s, mais au dépend de la lecture limitée à 372 Mo /s. Le Force GS ne sera toutefois un bon choix pour qui cherche un débit en écriture élevé soutenu, du fait de la perte de performances inhérente au SandForce après avoir utilisé au moins une fois toute la Flash du SSD. Sur cette capacité, le Force GS n'est pas donc plus intéressant que les autres SandForce, bien que ses performances applicatives restent d'un très bon niveau.

Corsair Neutron GTX B 120 Go

Dans sa version B, le Neutron GTX n'utilise plus de la Flash MLC Toshiba 24nm toggle mais de la 19nm. Combiné au contrôleur Link_A_Media Devices LM87800, il est très proche de son prédécesseur et offre globalement de très bonnes performances. L'équilibre final reste par contre plus destiné à un SSD de type serveur, avec notamment une très bonne tenue des performances en écritures aléatoires, que d'un SSD pour PC classique. On lui reproche comme aux autres Neutron des débits séquentiels faibles sur des transferts de petite taille. Garanti 5 ans et un peu plus cher que la moyenne, il mériterait donc une autre cible.

Crucial M500 120 Go

Nous avions déjà testé la version 480 Go du Crucial M500 ici. Il est pour rappel basé sur un Marvell 88SS9187 combiné à de la mémoire MLC IMFT 20nm. Ce sont des dies de 128 Gb qui sont utilisés, avec des pages de 16 Ko, ce qui complique les choses pour le contrôleur. En pratique il s'avère en retrait sur le Crucial M4 dans quasi tous les domaines, ce qui sans en faire un mauvais SSD fait qu'il n'a pas notre préférence d'autant qu'il est amputé de 8 Go d'espace accessible à l'utilisateur afin d'assurer l'intégrité des données et n'est pas moins cher.

OCZ Vertex 3.20 120 Go

Le Vertex 3 passe de la mémoire IMFT 25nm à la 20nm, et OCZ n'a pas répété la même erreur que sur le Vertex 2 lors du passage de la 32 à la 25nm. D'une part, nous avons donc droit à une nouvelle référence, et d'autre part les performances restent comparables, OCZ ayant fait le choix d'utiliser des die 64 Gb comme en 25nm et non pas les die 128 Gb également disponibles en 20nm. Espérons que l'avenir ne réservera pas de mauvaises surprises de ce côté. Il manque seulement au Vertex 3.20 un prix qui profite réellement du passage au 20nm, comme c'est le cas sur le Kingston V300, pour qu'il tire son épingle du jeu.

Sandisk SSD 120 Go

Le SDSSDP-128G de Sandisk constitue l'entrée de gamme de Sandisk. A l'intérieur on trouve un contrôleur maison, le Sandisk SDC1 associé à de la mémoire Sandisk MLC 24nm. Si les débits séquentiels dans les tests synthétiques sont de très bon niveau, ce SSD souffre par contre de performances très basses dans le domaine des accès aléatoires, particulièrement en écriture, ainsi que dans nos tests pratiques d'écriture de fichiers. Son comportement n'est pas sans rappeler celui du Kingston V200 à base de contrôleur JMicron JMF661 qui a depuis été corrigé par une mise à jour du firmware. Au final même si les performances applicatives restent peu éloignées du groupe de tête nous vous conseillons d'éviter ce modèle.

Sandisk Ultra Plus 128 Go

Comme sur l'Extreme qui est doté d'un SandForce SF-2281, Sandisk fait ici appel à un contrôleur tiers ce qui ne semble pas une mauvaise idée à la vue du paragraphe précédent. L'Ultra Plus combine un Marvell 88SS9175, 64 Mo de DRAM et de la Flash Sandisk 19nm Toggle ce qui lui permet d'afficher un très bon niveau global de performances. Sans être au niveau d'un Samsung 840 Pro ou un d'un Plextor M5P, il est ainsi dans le groupe de tête tout en étant parmi les plus abordables, de quoi en faire à un des SSD à privilégier.
> Comparatif SSD 2012-2013 : 32 SSD SATA 6G 120 et 128 Go

Dossier : Comparatif SSD 2012-2013 : 37 SSD SATA 6G 120 et 128 Go

Publié le 13/04/2012 à 14:50 par Marc Prieur

Un SSD, c'est bien, mais lequel ? Il était de mettre face à face les dernières nouveautés avec les anciennes références, c'est désormais chose faite avec ce comparatif de 37 SSD 120 à 128 Go en SATA 6G !

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Une puce Marvell derrière les Indilinx Everest !

Publié le 12/04/2012 à 08:27 par Marc Prieur

AnandTech  dévoile une information assez inattendue concernant les derniers contrôleurs Indilinx Everest 1 et 2. Ces puces, respectivement marquées comme étant des IDX300 et des IDX400 sont d'un point de vue hardware des puces Marvell. L'IDX300 serait un 88SS9174 (que l'on trouve dans les les Corsair Performance Pro, Crucial M4, Intel SSD 510 et Plextor M2/M3) avec une fréquence plus importante, alors que l'IDX400 pourrait être également basé sur une puce Marvell, sans que l'on sache si il s'agit d'un 88SS9174 ou du nouveau 88SS9187.


D'un point de vue purement hardware tous les contrôleurs se ressemblent désormais beaucoup : il s'agit de puces composés d'un CPU ARM, d'un peu de mémoire interne, d'un PHY SATA 6 Gb/s, d'un bus pour une mémoire DRAM externe et capables d'adresser la Flash sur un certain nombre de canaux, généralement 8. Ce qui fait surtout le contrôleur ce n'est en fait pas le hardware mais le software, c'est-à-dire le firmware qui sera exécuté par le CPU ARM.

Le firmware est lui spécifiquement développé par Indilinx et donc exclusif à OCZ, alors qu'il y a également quelques différences du côté de l'implémentation avec des fréquences plus importantes. OCZ n'est toutefois pas le premier à développer des firmware pour la puce Marvell puisque les autres SSD l'utilisant disposent également de firmware très personnalisé, mais qui restent basés sur le software Marvell a priori contrairement à celui d'Indilinx, et offrent des comportements qui ne sont pas aussi proches entre-eux que les SSD en SandForce.

Bien que cela ne remette pas en cause les qualités intrinsèques des Vertex 4, voilà une information intéressante qu'OCZ voulait cacher depuis quelques mois.

CES: OCZ: Everest 2, Kilimanjaro, æonDrive...

Publié le 11/01/2012 à 05:07 par Damien Triolet

L'année 2012 s'annonce chargée pour OCZ qui présente au CES de nombreux prototypes de ses produits à venir, sans trop s'avancer sur leur date de commercialisation, ni sur leur prix.


OCZ confirme tout d'abord son intérêt pour la mémoire Flash de type TLC (3 bits par cellule) à travers un prototype basé sur des modules Micron pilotés par le contrôleur Everest de la marque. Les spécifications initiales annoncent des performances qui devraient atteindre 500 Mo/s et 30 000 IOPS. OCZ s'attend à pouvoir réduire les coûts au niveau de la Flash de 30%, tout en précisant que ce chiffre dépendra du cours de la mémoire TLC à l'approche de sa commercialisation, qui devrait se faire avant l'été. Le fabricant indique par contre qu'il est encore trop tôt pour parler de l'endurance, qui pourrait être le gros point noir de cette mémoire.

Si OCZ propose avec l'Everest (Indilinx IDX300) un contrôleur qui se situe dans la bonne moyenne, tout du moins pour les grosses capacités (voir notre test), son successeur est clairement destiné à tenter de prendre la tête en terme de performances. L'Everest 2, ou Indilinx IDX400, s'attache principalement à augmenter les performances lors des accès aléatoires et à réduire l'amplification d'écriture. OCZ parle de débits séquentiels de 550 Mo/s en lecture et de 500 Mo/s en écriture ainsi que de 90 000 IOPS. Ce dernier chiffre est ainsi doublé par rapport à l'Octane et OCZ insiste qui plus est sur le fait qu'Everest 2 permettrait en pratique de s'approcher beaucoup plus de ses débits théoriques. Attendu pour cet été, ce SSD pourrait bien devenir le futur Vertex 4.


OCZ expose également 3 SSD dérivés du contrôleur Kilimanjaro (88NV9145), annoncé il y a quelques jours , développé en collaboration avec Marvell et qui gère nativement une ligne PCI Express 2.0. Le premier est un SSD au format mini-PCIe annoncé avec des débits de 500 Mo/s ou de 50 000 IOPS. Ensuite, Lightfoot est un disque dur externe équipé d'une connectique Thunderbolt et de 128 Go à 1 To de mémoire Flash qui est annoncé avec un débit de 750 Mo/s ou de 100 000 IOPS. Comptez 2$ par Go de stockage.


Enfin, le Z-Drive R5 combinera jusqu'à 16 de ces contrôleurs grâce à des switchs PCI Express 3.0 de PLX. OCZ avance des débits préliminaires de 3 Go/s et de 1.8 millions d'IOPS pour le modèle exposé tout en précisant pouvoir monter à 7 Go/s et 2.5 millions d'IOPS par la suite. La capacité de stockage pourra atteindre 12 To.

Avant cela, OCZ s'apprête à introduire une dernière évolution du Z-Drive 4 avec la variante RM1616 qui combinera 16 contrôleurs SandForce SF-2200 sur une carte PCI Express 2.0 8x pour atteindre une capacité de 16 To et 1 millions d'IOPS.


Alors qu'OCZ annonçait lors du CES précédent se retirer du marché de la mémoire DRAM, le fabricant y revient cette année avec un ram drive dénommé æonDrive. Un contrôleur maison est chargé de transformer jusqu'à 64 Go de DRAM en mémoire pseudo-non-volatile. OCZ avance des performances de 140 000 IOPS en 4K et de 540 000 IOPS en 512 octets, le tout avec une latence de moins de 20 µs, des spécificités qui seraient demandées dans des domaines professionnels très spécifiques tels que la finance.

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