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Apple attaque Qualcomm et réclame 1 milliard

Publié le 23/01/2017 à 11:37 par Frédéric Cuvelier / source: Reuters

Entre Apple et Qualcomm, le torchon brûle. Le géant américain réclame un milliard de dollars à son fournisseur, auquel il reproche des composants facturés à des tarifs trop élevés, et le non-respect d'une remise que Qualcomm avait pourtant consentie à Apple.

Pour expliquer le pourquoi de ces plaintes, il convient de s'attarder sur les soucis d'ordre judiciaire auxquels Qualcomm est actuellement confronté. Début 2015, la Chine a infligé une amende de près de 975 millions de dollars à la marque, sans que celle-ci n'y trouve à redire. Fin décembre dernier, c'est au tour de la Korea Fair Trade Commission (Corée du Sud) de pénaliser Qualcomm, à hauteur de 850 millions de dollars. Et le 17 janvier dernier, la Federal Trade Commission (FTC) américaine a, elle aussi, attaqué la firme. A chaque fois, ce sont les mêmes arguments qui sont avancés : Qualcomm exercerait des pratiques anticoncurrentielles.

Ce qui est reproché au fournisseur, c'est un abus de position dominante généré par des contrats imposés aux fabricants de smartphones et liant l'utilisation de licences et d'approvisionnement de puces.

D'après ces différentes enquêtes, Qualcomm aurait abusivement utilisé son portefeuille de brevets comme levier commercial. La marque dispose en effet de brevets essentiels pour l'utilisation des réseaux mobiles dans les smartphones, et même une entreprise de renom comme Apple a été contrainte de négocier.

C'est ainsi que, de 2011 à 2016, le géant de Cupertino a accordé une exclusivité à Qualcomm quant à la fourniture de puces modem. En échange, ce dernier avait consenti une ristourne sur les tarifs d'utilisation des brevets.

Cette réduction, Qualcomm ne l'a jamais appliquée, la firme reprochant à Apple d'avoir participé à l'enquête menée par la Korea Fair Trade Commission en Corée du Sud.

Quoi qu'il en soit, cette exclusivité a empêché toute concurrence de s'exercer sur les appareils de la firme à la pomme.

La Commission Européenne travaille sur un dossier similaire, puisqu'elle reproche à Qualcomm d'avoir tenté d'évincer Icera du marché (entre 2009 et 2011) en vendant à perte ses puces, et en versant illégalement des sommes pour s'assurer l'exclusivité auprès d'un constructeur dont le nom n'a pas été dévoilé. Le Japon et Taïwan ont également ouvert des enquêtes concernant les pratiques de Qualcomm.

Abus de position dominante

En s'assurant de réduire ainsi à peau de chagrin la concurrence (Freescale, NXP, Infineon, Texas Instruments, Renesas Electronics ou STMicroelectronics en ont fait les frais, Nvidia -qui avait racheté Icera-, Broadcom ou Marvell ne sont jamais parvenus à percer), Qualcomm aurait alors été en mesure de renverser la machine avec de nouveaux accords. Puisqu'il devenait le premier fournisseur du marché (66% de parts de marché en 2014, 59% en 2015, largement devant Mediatek), il pouvait n'accepter de fournir ses puces qu'à la condition que les constructeurs acceptent de payer le prix fort pour l'utilisation de ses licences.

Enfin, cette position dominante permettait à Qualcomm de vendre ses puces à un tarif supérieur à celui du marché. Ce sont ces tarifs qu'Apple met également en avant dans sa plainte.

Qualcomm se défend trop tard ?

De son côté, Qualcomm a décidé de faire appel quant à la décision du régulateur coréen et dit vouloir contester "avec vigueur" l'accusation de la FTC américaine, dont elle estime qu'elle est « erroné, ne repose sur aucune base économique et s'appuie sur une mauvaise compréhension de l'industrie mobile. »

Mais les relations entre le fournisseur et les fabricants de smartphones semblent s'être considérablement détériorées depuis le début de ces enquêtes, et la réaction d'Apple n'est que le symbole d'un mouvement d'émancipation de plusieurs constructeurs vis à vis de Qualcomm.

MediaTek, bien sûr, mais aussi Intel sont ainsi en train de récupérer certains des marchés auparavant réservés à Qualcomm, tandis que Samsung a commencé à produire ses propres puces pour équiper ses smartphones. Et les chinois Spreadtrum, HiSilicon et Leadcore arrivent sur le marché pleins d'ambition. Résultat : à la fin du premier semestre 2016, Qualcomm devait "se contenter" de 50% du marché des modems cellulaires. Un chiffre qui pourrait encore baisser à l'avenir.

SnapDragon 835 : 25% d'autonomie en plus ?

Publié le 04/01/2017 à 15:30 par Frédéric Cuvelier / source: Qualcomm

Qualcomm a levé le voile hier sur son prochain SoC à destination de la mobilité. Le SnapDragon 835 doit, sur le papier, améliorer à la fois les performances des smartphones et leur autonomie.

Du S835, on connaissait depuis novembre dernier le type de gravure 10 nm (10LPE FinFET de Samsung). Depuis hier, on en sait plus sur la future puce de Qualcomm, annoncée comme 35% plus petite que le S820 malgré ses 3 milliards de transistors.

Le Snapdragon 835 intègre huit coeurs Kryo 280 regroupés autour du modèle big.LITTLE, avec quatre unités fonctionnant à 2,45 GHz et disposant de 2 Mo de cache de niveau 2, et quatre autres tournant à 1,9 GHz (avec 1 Mo de cache L2).

Au passage, Qualcomm n'a pas vraiment donné de détails précis sur l'architecture qu'il utilise, mais semblerait avoir changé de modèle. Contrairement aux Snapdragon 820 qui intégraient une implémentation d'architecture "custom", Qualcomm utilise ici un nouveau type de licence accordée par ARM, nommée "Built on ARM Cortex". Le S835 pourrait ainsi être composé de Cortex personnalisés par Qualcomm : on peut supposer des Cortex A73 pour les coeurs big, et des A53 pour les coeurs LITTLE.

Selon Qualcomm, ces derniers seraient sollicités 80% du temps, d'où une baisse de consommation annoncée de 50% par rapport au nettement plus ancien S801.

L'Adreno 530 fait place au 540

Côté graphique, le S835 inaugure l'Adreno 540 sur lequel Qualcomm ne s'est pas franchement étalé, à part pour affirmer que le GPU était 25% plus véloce que son prédécesseur, l'Adreno 530, qui officiait sur les S801 et S820. Autre information tout de même : l'Adreno 540 est compatible avec l'Ultra HD Premium (HDR10), et est donc en théorie capable d'afficher 60 fois plus de couleurs que l'Adreno 530.

Autre apport lié à l'affichage, l'introduction de Q-Sync. Evidemment, cela sonne comme G-SYNC et FreeSync, et ce n'est pas un hasard. Le S835 permet en effet de caler la fréquence de rafraîchissement de l'écran sur le débit d'images produit par le GPU. Avec les gains potentiels que l'on connaît en termes de fluidité d'image.

Qualcomm tente également de mettre en avant la réalité virtuelle en proposant des optimisations pour le foveated rendering, afin de calculer le rendu de ce qui se trouve dans le champ de vision de l'utilisateur, en négligeant le reste de la scène, afin d'améliorer les performances.

L'Adreno 540 supporte enfin OpenGL ES 3.2, OpenCL 2.0, Vulkan et DirectX 12 et décode de les H.264 et H.265 en 4K à 60 fps.

Une connectivité améliorée

Qualcomm a pourvu son SoC d'un modem X16 qui va, en théorie, permettre aux appareils qui en seront équipés d'atteindre 1 Gb/s en débit descendant, et 150 Mb/s en débit montant.

Le Wi-Fi gagne lui aussi en performance, avec un module 802.11ac 2x2 MU-MIMO et même la prise en charge (moyennant l'association du S835 à une puce complémentaire) du Wi-Fi 802.11ad, qui autorise en principe un débit de 4,6 Gb/s.

Pour compléter ce tableau, le SnapDragon 835 prend enfin en charge le Bluetooth 5.

32 mégapixels et Quick Charge 4.0

Alors que la mode est au double capteur et aux zooms hybrides, Qualcomm apporte une réponse aux besoins des constructeurs avec un S835 capable de gérer jusqu'à 32 mégapixels sur un capteur, ou deux fois 16 mégapixels sur deux.

La capture vidéo est également améliorée, puisque le nouveau SoC peut avaler un flux 4K à 30 fps.

Le S835 introduit enfin la version 4.0 du dispositif Quick Charge, avec sans surprise une vitesse de charge accrue : selon Qualcomm, 5 minutes de charge suffisent à assurer 5 heures d'autonomie.

Vous pouvez consulter la liste complète des caractéristiques de ce SoC sur cette page .

Le S835 pour Windows 10 ?

La mise en production de ce SoC a débuté et il devrait se retrouver dans les smartphones, tablettes, et pourquoi pas PC sous Windows 10 commercialisé durant le premier semestre de cette année.

Le SnapDragon 835 était en effet particulièrement attendu après les annonces de Microsoft concernant l'arrivée de Windows 10 sur ARM via une version ARM 64-bit de l'OS de Microsoft développée en partenariat avec Qualcomm.

Le choix de la société de passer par des Cortex personnalisés plutôt que par une architecture développée en propre pose question sur les performances réelles du S835 dans le cadre de la surcouche d'émulation que ce SoC devra animer. Tout dépendra bien entendu du niveau de personnalisation effectué par la société, mais il est difficile de ne pas voir derrière ce changement de stratégie un aveu de faiblesse de la part de Qualcomm.

Le 10nm de TSMC est bien à l'heure

Publié le 27/12/2016 à 15:47 par Guillaume Louel

Il y a quelques jours de cela, le site Digitimes avait fait circuler une rumeur par laquelle TSMC et Samsung disposeraient de yields trop bas pour leur production 10nm. De quoi lancer multiples spéculations sur des retards de production.

Pour rappel, TSMC et Samsung ont annoncé avoir commencé la production en volume (des puces qui se retrouveront donc dans des produits commerciaux) de leurs nouveaux process 10nm au quatrième trimestre.

Pour tenter de couper l'herbe sous le pied des rumeurs, TSMC a confirmé une fois de plus au Taipei Times  que non seulement la production avait bien commencé au quatrième trimestre, mais que le 10nm générerait des revenus pour TSMC dès le mois prochain - ce qui signifie en pratique que TSMC aura livré des puces à ses clients.

Sur la question des clients, Digitimes avait spéculé qu'en plus d'Apple (client traditionnel en début de disponibilité de node pour TSMC), MediaTek et HiSilicon seraient parmi les premiers clients 10nm de TSMC. Des informations plutôt surprenantes pour les deux sociétés qui produisent (en grand volume) des SoC ARM à prix réduit, utilisant les blocs d'IP génériques (les "Cortex-A") dessinés par ARM.

Qualcomm, l'autre client habituel des débuts de nodes chez TSMC aurait cette fois ci misé sur Samsung pour le 10nm. Samsung n'a pas réagit aux rumeurs lancées par Digitimes. On notera cependant qu'il y a quelques semaines de cela, Samsung avait évoqué l'idée de mieux séparer ses activités. En effet, la marque coréenne entre assez régulièrement en conflit d'intérêts avec les éventuels clients de son activité "fabrication". Une situation que l'on a vue à de nombreuses reprises avec Apple par exemple.

Une restructuration qui séparerait les équipes de design de puces utilisées par Samsung (LSI et SoC) de l'activité "fab" serait donc envisagée selon nos confrères de Business Korea . Une séparation qui servirait surtout à rassurer d'éventuels clients car en pratique Samsung ne compte pas se séparer de son activité "fab".

Windows 10 ARM avec Win32, la fin du Wintel ?

Publié le 08/12/2016 à 21:28 par Marc Prieur

Lancé en 2012, Windows RT qui était une version ARM 32-bit de Windows 8 s'est avéré être un echec. Il faut dire qu'au-delà du système et des applications Windows natives, les utilisateurs n'avaient accès qu'aux applications distribuées UWP (Universal Windows Platform) c'est-à-dire distribuées via le Windows Store utilisant l'API WinRT.

Pour Windows 10 sur ARM, Microsoft a appris de cette erreur. Si cette version sera ARM 64-bit et supportera les applications UWP, elle disposera également d'une émulation native permettant d'exécuter les applications Win32, soit x86 32-bits ce qui permettra d'avoir accès à l'énorme historique d'applications Windows !

Cette version ARM 64-bit a été développée en partenariat avec Qualcomm, et si la démonstration tourne sur un Snapdragon 820 il faudra a priori atteindre le second semestre 2017 et le Snapdragon 835 en 10nm pour voir débarquer des PC équipés de Windows 10 ARM. S'il n'est pas question d'attaquer Intel sur le plan performances pures, d'autant plus avec une surcouche d'émulation, voilà qui devrait faire bouger les lignes dans le secteur de l'ultra-mobilité et éventuellement sur l'entrée de gamme, des segments sur lesquels Microsoft prenait un risque de plus en plus grand en restant uniquement associé à Intel.

Les dernières nouvelles de la VR

Publié le 31/10/2016 à 18:15 par Guillaume Louel

Beaucoup d'annonces ont été faites ces dernières semaines du côté de la réalité virtuelle, nous allons tenter de profiter de cette actualité pour résumer les plus importantes.

Vue par beaucoup dans l'industrie comme un possible moteur pour pousser en avant les ventes de PC et de GPU, la réalité virtuelle n'aura pour l'instant pas vraiment eu l'impact souhaité.

Après l'arrivée des Oculus Rift et des HTC Vive plus tôt dans l'année, la question de la puissance des machines reste, selon certains, un frein à l'adoption.

Compenser la stabilité du rendu

Différentes méthodes existaient déjà pour tenter de compenser un framerate qui ne serait pas parfaitement stable. Oculus poussait depuis un moment le concept de l'Asynchronous Timewarp . L'idée est assez simple, une fois une image rendue par le GPU, un second thread va déformer cette image en la projetant en fonction des dernières informations de mouvement. Dans le cas ou le GPU est incapable de fournir l'image suivante dans les temps, la reprojection sera utilisée. La technique permet de limiter grossièrement les problèmes de mouvement de tête (l'image affichée fait que l'on "regarde" dans la bonne direction), mais ne compense évidemment pas les éventuelles évolutions de la scène (mouvement des objets, etc).

De ce côté, on notera que Valve a rajouté la semaine dernière sa propre version de la technologie dans SteamVR, baptisée Asychronous Reprojection  (la beta ne fonctionne pour l'instant qu'avec les cartes Nvidia).

En début de mois, Oculus avait annoncé une nouvelle variante de cette technologie baptisée Asynchronous Spacewarp . Les détails techniques ne sont pas nombreux, il s'agirait d'une variante de reprojection plus complexe qui utiliserait les deux images précédemment rendues pour estimer les mouvements et créer une nouvelle image intermédiaire composite sur le GPU. Les premiers retours semblent assez bons même si comme pour la reprojection classique, la technique n'est pas parfaite et génère des artefacts plus ou moins gênants selon les situations.

"Inside-out tracking"

On a également vu des annonces sur la question du positionnement dans l'espace. Les deux kits disponibles aujourd'hui utilisent des méthodes différentes dans leur approche mais avec un principe identique : la position dans l'espace du casque est déterminée par un objet extérieur. Dans le cas du Rift le positionnement est réalisé par un capteur infrarouge. Le système de HTC est un peu plus complexe et utilise deux cubes externes, l'avantage étant qu'il peut déterminer la position dans une pièce entière.

Qualcomm a présenté de son côté une plateforme de référence VR mobile  (destiné aux OEMs qui pourront proposer le produit rebadgé), qui intègre cette fois ci une détection du positionnement directement intégrée dans le casque. Un mélange de capteurs (gyroscopes, accéléromètres et magnétomètres, et possiblement les deux caméras frontales) sont mis à contribution pour déterminer la position dans l'espace sans référence externe, à une fréquence de 800 Hz. Le traitement serait effectué par un DSP intégré que l'on pourrait retrouver dans d'autres solutions.

Si Oculus travaille aussi sur ce type de positionnement (inside out tracking), c'est Microsoft  qui a surpris en annonçant la semaine dernière travailler avec plusieurs constructeurs pour proposer des casques "abordables", sous la barre des 300 dollars. Ils disposeraient eux aussi d'un système de positionnement intégré. Aucune information n'a été donné sur d'éventuelles caractéristiques, on sait au mieux que Dell, Acer, HP, Lenovo et Asus proposeront de tels modèles qui seront disponibles en 2017.

Le rôle exact de Microsoft, au delà de l'exclusivité de fonctionnement de ces casques sous Windows 10, est inconnu. Microsoft semble avoir développé une technologie de positionnement intégrée pour Hololens, il est possible que la société propose cette technologie sous licence. L'utilisation d'une solution tierce et peu coûteuse (comme celle présentée par Qualcomm) reste cependant une forte possibilité pour ces futurs casques.

Zenimax vs Facebook

Si le rachat d'Oculus par Facebook n'avait pas été très bien accueilli en général, la société s'était en prime attirée les foudres de Zenimax, maison mère d'id Software. En août 2013 (avant le rachat), John Carmack avait rejoint Oculus comme CTO (Chief Technical Officer) avant de quitter son poste chez id quelques mois plus tard, rompant définitivement tout lien  avec la société.

En mai 2014, et un mois après le rachat, Zenimax a entamé des poursuites contre Oculus VR indiquant que les contributions de John Carmack (et de quelques uns de ses collègues qui ont quitté eux aussi id Software pour Oculus) à l'Oculus Rift étaient la propriété intellectuelle de Zenimax. Dans la foulée, la société avait contre attaqué, répondant que Zenimax essayait simplement de profiter du rachat de la société par Facebook.

Mais comme le pointent nos confrères de Polygon , la plainte de Zenimax ne semble pas être sans fondement. Le contentieux entre Zenimax et Oculus date de 2012 et si John Carmack s'était défendu en indiquant qu'aucune ligne de code écrite pour son ancien employeur n'avait été utilisé chez Oculus, en pratique Zenimax reprochait à Palmer Luckey d'avoir profité des investissements, sur plusieurs années, de la société pour résoudre certains problèmes techniques de la réalité virtuelle. Quelque chose qu'il aurait reconnu par écrit.

Une analyse des disques durs de John Carmack et de l'un de ses collègues par un expert indépendant aurait apporté des éléments qui contredisent plusieurs déclarations sous serment effectuées par les employés d'Oculus. L'intégrité de certaines images disques est également remise en question par l'expert.

Les avocats de Facebook ont tenté de bloquer le partage des informations trouvées par l'expert indépendant avec Zenimax, mais le juge a rejeté cette demande. L'expert devra aussi partager les conversations avec John Carmack autour de la récupération de l'image du disque de son MacBook, dont l'intégrité est remise en question.

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