HP Jornada 525

Le 525, sous toutes ses coutures

Et de haut, admirez ses célèbres ports CompactFlash et infrarouge...

L´interface et l´écran

Pas de surprise non plus ici, l´interface proposée est la même que celle des Jornada 540. En extérieurs, sans être fantastiques, l´un comme l´autre sont lisibles. Il suffit d´aller dans les paramètres HP indiquer que vous travaillez en extérieur pour qu´un réglage de la luminosité et du contraste censés être optimaux soient pris en compte automatiquement.

L´OS, les applications de base

Sur ce point, HP a raison d´avancer que vous ne verrez pas la différence entre l´affichage du Jornada 525 et celui des 540. Mais il faut dire que le nombre de couleurs employées dans ces applications de base – Word Pocket, Contacts, Calendrier – lecteur MP3 – reste très réduit. Une déception tout de même : j´espérais que HP, avec cette sortie de produit tardive, aurait un peu revu sa technologie d´écran et l´aurait améliorée. Il n´en est rien : on a toujours l´impression de voir une fine grille grise devant les images. Le résultat n´est pas aussi mauvais que sur le Palm IIIc, mais cette nuisance ne se retrouve pas sur les Palm dernière génération (je pense notamment au Clié de Sony que j´ai eu l´occasion de prendre en main dernièrement) ni sur les PocketPC concurrents.

L´OS :

A gauche, une photo du Jornada 525. A droite, celle du Jornada 548.


256 couleurs, 4096 couleurs, le résultat est équivalent. Et c´est également le cas dans la quasi totalité des applications livrées.

Le lecteur multimédia :

A gauche, une photo du Jornada 525. A droite, celle du Jornada 548.


On commence à voir les premières limites du chip graphique : les boutons du lecteur sont censés apparaître avec un léger relief en arrondis. C´est d´ailleurs bien le cas sur les Jornada 540. Sur le 525, le lecteur apparaît en 2D. Rien de bien grave en somme, mais c´est de mauvais augure pour les images et vidéos.

Les images

En effet, l´histoire se complique quand vous souhaitez visionner des images. Là, les 256 couleurs se font cruellement ressentir. Et pourtant, les Jornada 540, comme nous l´avions écrit lors de notre comparatif, ne sont pas une référence. Ils sont très loin de ce qu´offrent les iPAQ et Cassiopeia.

Je précise que les photos ci-dessous ont été prises avec un photoscope. Ce ne sont pas des captures et elles ne rendent que partiellement ce que je voulais vous montrer. Il faut en fait remarquer avant tout la mauvaise définition de l´image affichée sur le 525, sans tenir compte du fait qu´elle semble plus colorée. Car ce n´est pas le cas dans la réalité. L´image des Jornada 540, comparativement à celle du 525, offre de véritables dégradés.

A gauche donc, une photo du Jornada 525. A droite, celle du Jornada 548.