Cambridge SoundWorks DTT2200

Les cartes son capables de décoder le son 5.1 en interne se démocratisent de plus en plus. Afin de combler les attentes des possesseurs de SBLive Player/Platinum 5.1, de Sonic Fury ou de Game Theater XP, Creative Labs nous propose les DTT2200, un système 5.1 directement inspiré des FPS 2000 et du DTT2500, le décodeur AC-3 en moins bien sur.

Caractéristiques

A voir leurs caractéristiques, les DTT2200 n´ont rien de très neuf ni de bien extraordinaire. Leur puissance est inférieure à celle des FPS 2000 ou des DTT2500 et elles n´intègrent pas de décodeur AC-3 ni même une entrée Digital Din chère à Creative Labs. Pourtant les DTT22000 sont tout ce qu´il vous faut pour profiter pleinement d´une carte son de type SBLive ! Player 5.1. Elles sont en effet capable de gérer le son en 4.1 pour les jeux et en 5.1 pour la lecture des DVD Video. Elles sont dotées pour cela de trois entrées analogiques au format mini-jack correspondant aux enceintes avants, arrières, la troisième étant dédiée aux son du caisson de basse et du hp central. Les fréquences supportées et annoncées par le constructeur sont de bonne augure, et pour une fois le chiffre plancher du caisson de basse (40 Hz) ne semble pas trop sur estimé.

Ces entrées se trouvent à l´arrière du caisson de basses qui regroupe l´ensemble des connexions. On y trouve également une molette de réglage des basses, l´entrée d´alimentation, la sortie pour la télécommande filaire identique à celle des FPS2000, ainsi que les 5 sorties RCA pour relier les satellites et le caisson de basses. L´aspect du système est fidèle à la ligne habituelle de Cambridge SoundWorks, tous les éléments sont noirs et les formes assez carrées ce qui donne un ensemble globalement sobre. En plus des 6 éléments vous trouverez dans le carton des DTT2200 l´alimentation externe et des patères et des adhésifs pour fixer les satellites à un bureau ou sur un mur. Bref, vous l´aurez compris pas de trépieds à l´horizon, seuls les possesseurs de DTT3500 y auront droit.

  Qualité sonore, Conclusion